jeudi 29 mars 2012

Suivi et évolution de ma colopathie.

Bonjour à vous amis colopathes, Dernièrement, j'ai reçu plusieurs messages d'internautes concernant l'évolution de ma colopathie et, logiquement, du traitement qui l'accompagne. Voici un exemple de message, ici posté par Julia : Bonjour Pietro, tout d'habord merci pour ce blog qui permet vraiment de se sentir moins seule avec de tels problèmes. Je voulais savoir si depuis une année tu as vraiment pu t'en débarrasser ou si tu as revécu certains épisodes? Et lorsque tu prenais tes médicaments, cela te soulageait complêtement? Merci d'avance! Et donc voilà les news. Je ne vais pas faire dans le suspense ( mauvais pour nos intestins ;) Je suis malheureusement de nouveau sous medicament. Il s'agit toujours de la même molécule Amytriptiline et à raison de 20 mg / soir. J'ai essayer de tenir le plus longtemps possible, mais les tensions au travail et le rythme infernale de la vie m'ont mis un genoux à terre. Cependant, je ne le prends pas comme une défaites ! Je vous assure que le climat et les problèmes auxquels j'ai fais face auraient pu faire bien plus de dégâts... Et que fais t'on quand ça dérape ? ON AGIT ! Personnellement cela se traduit par la recherche d'un nouvel emploi ( chose vraiment pas facile en ces temps ( d'ailleurs, si vous avez quelque chose à proposer... Welcome )). Maintenant, bref réflexion. Je suis à nouveau sous Redomex mais à raison de 20 et non plus 30 mg. Si j'ai repris les médicaments, c'est pour une raison de confort avant tout ! En effet, ils me permettent de vivre plus ou moins normalement et m'évitent les situations les plus inconfortables que l'on connaît tous. Les douleurs sont quasi absentes au quotidien et plus de vraie crise abominable.... Sauf il y a 4 jours. Mais je l'ai bien chercher, le repas que j'ai ingurgiter aurait eu raison des boyaux d'un lion :) Et donc voilà, du bon et moins bon mais une situation en équilibre sur le temps. Je ne peux exiger beaucoup plus, surtout en me remémorant d'où je viens ( impossible de manger, de sortir, de travailler, etc ) Il y a, j'en suis sur, un remède pour chaqu'un d'entre nous, seulement il faut trouver lequel. Me perdez pas courage, c'est la pire option possible. Et surtout parlé ! Oui notre maladie est gênante et dérange, mais cela n'empêche, il faut extériorisé. Pietro Si vous désirez réagir à cet article, utilisez les commentaires.

Aucun commentaire: